2012/11/23

/// 206. inversement… ///

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 » tu fais le boulot
du bon boulot…
mes ennemis t’applaudissent… »

.
quand on avance sur la pointe des pieds, les connards ont toujours le dernier
mot

(ça, ce pourrait être le refrain…)

ils vous emballent tout ça
et vous renversent le bordel
en un coup de cuillère à pot

le centimètre que tu as mis 3 ans à parcourir, honteux
à pas vouloir déranger
à pas pousser du coude
à renifler dans ton coin… : effacé, détruit…

.
alors, t’as raison, François, vas-y mollo…

surtout qu’y sont — encore — un paquet à y croire  — encore… — (« fouette-moi »)
— oh ! oui ! — je les vois les affiches…
elles me faisaient sourire, au début — (les jeunes machins en S…) —
ceux-là, tu peux les tromper, encore…

.
(non, ne crois pas que j’y ai cru…
mon papi Toine m’avait prévenu, il y a bien bien longtemps…
bien bien longtemps…)

bien…
soyons sérieux, au moins deux secondes, trois lignes…

.
tu fais le boulot
du bon boulot…
mes ennemis t’applaudissent…
(même si, là, tout d’suite… dans leur cahute en bleu…
c’est pas la joie… faut l’dire… non, non, faut l’dire…)

alors, si tu peux…
si c’est dans tes cordes…
moi, tu me fous la paix

hein ?
c’est pas trop demander ?
tu — me — fous — la — paix. tu me parles pas.

parce que ce que tu me proposes…
(– j’y ai bien réfléchi… et c’est une option… –)
c’est de vivre dans un monde de merde
ad vitam aeternam
me résigner…
(et ça… je peux pas)

merci

.
« moi président, je ne servirai à rien… »

salut les parano(e)s !

E.

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« le vote utile » ©E.5131

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