il y a ce que je vois – moi – chargé des mots de mes lectures, des images des longs métrages, etc.
il y a ce qu’ils vivent, eux, simplement – surtout l’âne.
il y a ce qu’ils vivent et qui les dépasse – surtout l’âne – et qui, au coin du bois, du pré, de la chaumière, chemine et serpente… à la lisière des mots, des images, du merveilleux, etc.
ouvre l’œil… et l’oreille.
E.
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« et l’âne » ©E.5131
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