2012-07-01 ©E.5131 (E. : DLUO périmé)
au même moment, dans la seconde, deux réflexions qui s’encastrent et forment un bel accident…
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la première, issue du temps qui passe et fait son œuvre…
comprendre… quel bonheur !
apprendre…
aussi – finir par comprendre… des plus agréables
et si ! mieux encore !
saisir que…
le contraire de ce que l’on pensait plus tôt… est valide, et agréer
une formule assénée il y a dix ans et que je n’ai pas comprise. en manque d’éléments et maintenant
je saisis, j’attrape, ça tournoie autour de mon oreille, de ma cervelle, je dirais
presque
je maîtrise ! nan dé d’là !
c’est pas un retour en arrière, c’est un bond ! vers l’avant (on y reviendra…)
un pas de côté aussi, élargie la ligne, construire l’avenue que l’on sait dangereuse
mais large… à quatre voix, quatre mains, plus… bifurcations, terre-plein central, sans symétrie, entrées, sorties…
hors du chemin, sans choix, de surcroix
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alors, la seconde ? cette image, là, ce matin, qui m’a renvoyé à la gueule une idée qui n’est pas nouvelle, mais
qui s’est matérialisée, là, ainsi
avec cette affiche (la pub ! qui accompagne nos pas, la vue, la cervelle et s’inscrit…)
sous mes yeux narquois, rouges de colère lasse
si je pousse la caricature et la mauvaise foi, je résumerais ainsi le message : c’est un menu pour crétins (rapidenourriture) !
technique marketing des plus imbéciles, si je me réfère à mon système, à « mes valeurs »…
mais…
« maintenant », « de nos jours », « nowadays », « au jour d’aujourd’hui », « faut vivre avec son temps »,
ça marche…
la crétinitude n’est pas répulsive… elle est une valeur ajoutée, une plus-value, un gage d’existence
si l’on pensait, « avant »
qu’on ne pouvait détrôner le roi des cons,
« on » pense « maintenant » que c’est une place enviable…
ah ! ne généralisons pas, monsieur E., ne jouons pas le vieux « on/con » que je suis devenu, mis « en quarantaine », bien malgré moi.
utiliser ce « avant », tout de même…
la marrade ! monsieur E. ! à quoi jouez-vous ?
bah…
petite observation…
de la rébellion du jour : dormir, s’abrutir, se gaver… faire chier le petit monde
laisser en l’état le grand système, à peine touché du doigt, entrevu à peine, tant la lumière est éblouissante, l’écran aveuglant…
l’avenir de l’europe, nous dit Ton, ton avenir,
celui de tes enfants se joue, en ce moment, paraît… le hollandais parade, ostensiblement, une cerise dans la main gauche, quand on s’est farci tout le gâteau à la crème par l’arrière…
« j’allume la télé pour en savoir plus… », l’imbécile
il est question de la france, de l’allemagne, de l’italie, de l’espagne, de la grèce… et d’un ballon rond
faudra le dégonfler avant de l’immiscer… moins pratique qu’une tarte à la crème.
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salut les parano(e)s !
E.
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©E.5131
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